Les affres de l’absinthe
Les affres de l’absinthe
Tu es là, tu lui rends visite et puis …
Tu l’écoutes parler de toutes choses.
En face d’elle, vogue ton esprit
Au large des angoisses, de sa prose.
Elle est ton amie, surtout pas ta chose
Toi qui pour elle, te faisais si tendre
Elle a cru en toi, son parfum de rose...
Elle avait just’oublié de comprendre
Que la douceur de l’air que l’on respire
Pouvait souffler les senteurs de l’absinthe
Celles qui sans le savoir, on aspire
Pour les rejeter sur des âmes saintes
C’est ainsi que la faucheuse apparaît
Pour tuer le mieux et garder le pire
Son ombre ne taira pas ses méfaits
Alors, quand dans ton corps, elle soupire
Rejoins vite le profond de toi-même.
Et si en toi, il existe deux êtres,
Choisis et récolte ce que tu sèmes
Et selon… Elle comprendra peut-être.
Ta vie t’appartient et ton choix aussi !
Mais son corps et son esprit ne font qu’un
Sa vie lui appartient, son choix aussi !
Elle est ton amie, surtout pas « chagrin » !
Sylviane Ferramola (août 2011)
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 12 autres membres